Nous avons publié le 9 mai 2011 notre appel à soutien de notre campagne de stérilisation.

Vous êtes désireux de savoir où nous en sommes ? Et bien nous avançons dans cette campagne. Nous sommes aujourd'hui à  32 stérilisations (17 chattes/chats; 15 chiennes/chien) faites depuis le début de l'année 2011.

C'est à la fois beaucoup pour une petite structure comme l'AaaB (beaucoup en logistique: transport, suivi, etc. et aussi financièrement).

Mais soyons honnêtes et directs, celle-ci (la campagne de stérilisation que nous avons initialisée) ne peut continuer sans le nerf de la bataille, c'est à dire son financement.

Nous avons besoin de votre support, de votre contribution pour continuer.

Que ce soit 500 frs, 1.000 frs, 5.000 frs, 10.000 frs ou plus, votre geste s'ajoutera à celui des autres, vous le savez bien !

Alors faites le ! Aidez-nous !

A ce jour, une seule personne a répondu à notre appel; oui, une seule ! Doit-on en conclure de manière fort simpliste que nous nous battons seuls? Non bien sûr !

Alors que... lors de nos collectes presque hebdomadaires, nous avons le plaisir et le sérieux de discuter avec de nombreuses personnes qui insistent sur la nécessité de faire quelque chose, quelque chose pour le mieux-être de ces animaux, quelque chose pour en limiter les nuisances (surtout en agglomération) et les histoires de voisinage, faire vraiment quelque chose pour qu'une rencontre à haut risque avec un groupe de chiens quasi-sauvages ne relève plus que d'un souvenir dans ce pays.

Notre appel veut mettre en place une méthode douce mais réelle (pas question de sortir les fusils et de procéder à de l'abattage comme quelques uns pourraient le préconiser) pour prendre le contrôle d'une situation de croissance exponentielle des gentes féline et canine, espèces non endogènes mais néanmoins pas du tout gérées.

L'AaaB vous propose de l'aider, l'aider à mettre en place, consolider ce premier pas, ce petit pas mais qui va dans le bon sens,dans celui où nous devons aller, avant que d'autres structures plus collectives (des collectivités, devrions-nous dire) prennent le relais avec des moyens à hauteur des besoins et une couverture territoriale largement plus significative que la nôtre.